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  • L'amitié virtuelle
    n'a pas de distance
    ni de frontière.
    Visage inconnu et imaginaire
    Avec grand coeur
    Et qui tous les jours se soucie de toi
    se confie à toi
    te souhaite le meilleur pour toi.
    Le soir venu, vient te souhaiter une bonne nuit
    et te dire à demain ...
    Bien souvent,
    le matin,
    elle est la première à te souhaiter
    une merveilleuse journée ...
    C'est elle que tu ressens
    aussi réelle que virtuelle
    L'amitié est sacrée,
    précieuse,
    belle, généreuse.

    il faut juste savoir la mériter.



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  • « Viendra le temps de l’homme, où Elfes et Dragons,

    Et toutes les Magies, périront par l’oubli.

    Seule sera sauvée l’ultime âme Mythique.

    Par le pouvoir des Mots, Illustres Parangons,

    Les Sorts seront brisés et l’Ordre rétabli.

    Mais vous devrez trouver la Clé du Charme Unique. »

     
     

    Aux confins des ténèbres, dans de noirs abysses,
    Mon souffle, forgé par le temps des sortilèges,
    gronde d'un feu ancestral, seigneur des supplices.
    D'or fendu, mes yeux vous glacent et vous assiègent,
    Ailes, écailles, griffes, sont mes maléfices.
    Mon nom, RuneSombre est à lui seul, votre piège.

     

    Je suis fille de l’air, enfant de la lumière.

    Plus vive que le vent, je suis flèche d’argent.

    Mon cœur est noble et fier et ignore la peur.

    Je frappe, je bondis, je suis une guerrière,
    Mais c’est bien mon esprit le plus intransigeant.
    Moi, Idril Elendil, par mes mots vous épeure !
     

    En ces temps de chaos ou les magies se meurent,
    Je contemple le monde depuis des tours croulées.
    Que fera ta lumière, ici bas en ces heures,
    Elfe esseulée, si faible chose sans armée,
    Contre ces hommes qui ravagent dans l'erreur,
    Nos terres que les tiens n'ont pas su protéger?

     

    Qui es tu, pauvre monstre, pitoyable bête,

    Pour oser me reprocher tes propres échecs !?

    Ton peuple en a t’il réchappé mieux que le mien ?

    C’est ce temps qui nous tue. Mais crois moi, je suis prête !

    Il n’en restera qu’un ; prépare tes obsèques !

    Car c’est bien ma lumière qui vaincra les tiens !

     

    Nous, gardiens du ciel, nous vous laissions les forêts,
    Et du sol, aux dragons, ne restaient que les monts!
    Rampante créature, ose me défier!
    Ose encore et mes dents te déchiquèteront,
    Mon feu ardent viendra réclamer ta pitié,
    Mais point de merci si tu injuries mon nom,
    Juste un vil tombeau où périront tes pensées!

     

    Mes pensées sondent l’âme de la prophétie,

    Et celle-ci me dit que nous nous égarons.

    La Clé du Charme Unique abolira le sort

    Et nous ne serons plus, tous les deux, en sursis.

    Si nous devenons un, si nous nous fédérons,

    Nous sauverons alors la Magie, ce trésor !

     

    Comment, nous, si différents, pourrait-on s'unir?
    Toujours les ténèbres combattront la lumière
    Mais quel intérêt de voler sans plus de désir?
    Te laisser la victoire est la seule manière
    Tu es l'âme mythique, moi le souvenir,
    Qui à toi sera lié pour que la magie opère.

     

    Et que serait ma vie, sans êtres de magie 

    Pour partager mes heures ? Je n’ai rien d’un humain !

    Réfléchis ! Séparés, nous ne sommes plus rien !

    Alors qu’ensemble, nous pouvons créer la vie !

    Ta puissance et mon esprit, mettons en commun,

    Et forgeons un demain qui sera tien et mien.

     
     

    Je t'écouterai donc, toi ma soeur en magie,
    Je renonce au sacrifice, à toi je me lie.
    Le noir et le blanc se mêleront pour la vie,
    Créeront une palette de couleurs sans gris,
    Et feront cesser, de ce monde, la folie,
    Mettant entre ses mains, la beauté et l'envie.

    « Dès lors, l'Elfe et le Dragon conclurent alliance.
    leurs pouvoirs entrelacés : le monde trembla.
    Les sorts brisés : l'âme mythique pris naissance,
    Et s'accomplit la prophétie de juste droit.
    Ainsi, la muse des mots vint à l'existence.
    Poésie est son nom, fille d'or et de soie. »

     

     

     


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  • Dans une contrée lointaine
    Vivait une servante,
    Elle attendait qu'un chevalier vienne l'enlever
    Ecrivant chaque jour un merveilleux poème,
    Et cultivant une lys en secret.
    ''Ses pétales un peu noirs iront avec tes yeux...
    La nuit elle s'ouvrira, près de tes cheveux bruns!''
    Un jour, elle rencontra un chevalier.
    ''Pourquoi depuis 39 ans, ne l'ai-je point remarqué?''
    Pensai-je alors...
    Car c'est bien moi, mon chevalier,
    C'est moi qui t'aime ainsi.
    Et c'est à toi que cette lys revient
    Sois son chevalier, son doux chevalier,
    Et je te jetterai un sort, je serai ta fée,
    Celle qui enferme les coeurs dans un monde bleu.




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  • Une femme dans le noir
    Assise au fond du lit
    Cherche un échappatoire
     Aux malaises de sa vie
    Une boule de stress l’empare
     Et l’angoisse l’envahit
    Elle cache son regard
    Tant la douleur l’emplit
    Son coeur est opprimé
    Son souffle s’accélère
    Sa force est périmée
     Etouffante atmosphère…


     Valérie S. (Art et Poèmes) Févr

    ier
    2009

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